La photo attise un non-impact, qu'elle arrive à point nommé sur fond  de grisaille émotionnelle, sans doute enhardie par le tempo d'un temps trop frisquet, et que le glacis, semé par ces effluves mortuaires de fumée électrogènes et génocide sur nos âmes, concorde des fois avec la mainmise obscure des émotions sur le parcours de la pensée fluidique.

Jean S. Sahaï

Il  y a une coexistence particulière, dans cette journée qui s'achève, d'un paysage qui se décline dans de charmantes nuances chromatiques, propices pour certains à l'évasion onirique et des symboles d'une pollution humaine destructrice de cette nature vouée pour l'heure à être désenchantée, qui plus tard s'en ira  irrémédiablement tel ce jour qui s'éclipse...

Emmanuelle Deschè