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Poème, accrostiche, méthaphore

Guy Cayemite

 

E tre en mesure,
F aire de sa nature,
F acile à diriger
E n ondes, pour contrôler
T ous les sphères, même la pensée
S ous un atmosphère bien pensé...

D e Rome, Néron l'a jouée
E t jusqu'à l'Alaska résonné...

H armonie en métaphores,
A ux contrastes en dualité,
A cet accrostiche, j'ai pu
R elever l'essence, et mettre a nu,
P ar un tour ingénu, une ambigüité...

boule  boule  boule

Il va me falloir donner quelques explications sur ce poème... EFFETS explique ceux d'une Harpe qu'on joue (beauté) aussi bien que HAARP (Méchanceté) de l'homme, contraste et ambigüité dans la dualité...

De Rome, Néron l'a jouée... Néron jouait une harpe dit on alors que Rome brulait... Ici j'use l'homonyme HAARP (jusqu'a l'Alaska résonne) car on use HAARP (folie dans les deux cas) pour contrôler la nature et provoquer des ouragans et même contrôler le cerveau (Destruction) par les ondes, comme je l'ai souligné... d'ou ambigüité avec les ondes de l'Harpe (musique) qui ne sert qu'a charmer... Dualité et contrastes dans l'ambigüité... un poème doit à mon avis refléter le caractère du sujet, ce n'est pas le QUOI mais le COMMENT qui importe. Ce n'est pas sans raison que j'ai choisi délibérément de les faire en accrostiche et en 13 vers vu l'IMPORTANCE des sujets. De plus j'ai pris le soin d'y inclure textuellement la solution de l'énigme...

Ma signature dans les homonymes sous entendus,  “Harpe  et  HAARP “

boule

 Viré monté