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Abyss

Jacques Schwarz-Bart

 

 
Abyss

Abyss est le deuxième volet de “Soné Ka la”, grand’oeuvre du saxophoniste Jacques Schwarz-Bart, qui fut porté aux nues par la critique lors de sa sortie en 2006.

“Abyss” est un album qui nous emmène plus loin et plus profondément encore au coeur des noces étincelantes et mystérieuses du jazz et du g’wo ka, la musique traditionnelle de Guadeloupe.

Ce ne pouvait être qu’un homme au destin aussi singulier qui nous fasse partager cette quête fiévreuse, passionnée, singulière de cette rencontre sensuelle et poétique entre deux cultures issues du même tronc, des mêmes racines africaines, d’un même sens premier, mais séparées par l’histoire même de leur évolution.

Tout est rare en effet chez Jacques Schwarz-Bart: le fait qu’un musicien majeur se révèle dans sa maturité, à quarante ans passés. L’incroyable succession d’évènements qui fait que, destiné aux hautes fonctions de la république, il décide à 27 ans de jeter son diplôme de Sciences Po aux orties, pour l’amour de la musique et d’un instrument – le saxophone.

Mais surtout, cette jeunesse passée dans le plus merveilleux creuset de diversité culturelle qu’on puisse rêver sur cette planète, avec des parents au-delà du commun:

Son père, André Schwarz-Bart, prix Goncourt en 1959 avec “Le Dernier des Justes”, auteur de nombreux autres œuvres dont “La Mulâtresse Solitude” est un être rare qui donne un sens vrai à des mots comme rigueur, humilité, volonté, intransigeance.

Sa mère, Simone,  d’origine guadeloupéenne, est l’auteur (entre autres) du sublime “Pluie et Vent sur Télumée Miracle”.

Jacques vivra avec eux une enfance qui le fera grandir au cœur de la culture antillaise, mais toujours conscient de l’ouverture au monde.

Deux des morceaux d’”Abyss” leur sont consacrés:

“André” ou le saxophone ténor de Jacques se fait hommage et messager d’une profonde spiritualité,  simplement accompagné par le piano de Milan Milanovic.

Et “Simone”, qui commence par un poème en créole dit par l’auteur elle-même, sur le contre-chant du ténor, auquel succède le balancement relâché du lick de guitare d’Hervé Samb, puis la subtilité du rythme, marqué par les percussions et la basse de Reggie Washington , super-rampe de lancement pour les sinuosités chatoyantes du solo du leader.
           
La diversité culturelle, mosaïque des identités, est la base de la formation du groupe:

Pas de batteur au sens “jazz” mais deux percussionnistes guadeloupéens, Olivier Juste au Boula qui va définir le rythme de base , et Sonny Troupé au Marké qui fait danser ce rythme comme un feu-follet , maître de ces diaboliques “tourneries” qui laissent la plupart des batteurs bouche bée…

Aux claviers, Milan Milanovic, né à Belgrade, le compagnon des gigs new-yorkais, possède une grande sûreté de l’harmonie, du ton de l’accompagnement et du sens des soli. Un des futurs très grands…

Guitariste extraordinaire, le sénégalais Hervé Samb apporte au groupe une note bleue aux profonds et étranges accents d’un ailleurs africain. Il est le somptueux point d’équilibre aux saxophones de JSB. Son jeu acoustique dans “Nubian” est d’une élégance ciselée…

Le bassiste Reggie Washington est nouveau dans le groupe. Jacques et lui ont fait partie de l’aventure Hip-hop/ Soul/ Jazz  du RH Factor de Roy Hargrove. Il est ici juste parfait, dans un rôle majeur ou le bassiste doit garantir par une écoute sans faille, l’empathie entre les percussionistes et le reste du groupe!

Quant à l’autre bassiste, Thierry Fanfant, qui vient de l’une des plus grandes familles de musicians antillais,  il promène sa basse vrombissante dans deux morceaux, ”Motoyo” et “Big Blue” et joue acoustique sur” After she left”.

Comme dans le premier opus, ”Soné Ka la”, Jacques Schwarz-Bart a choisi d’inviter de grands musiciens:

John Scofield, qui pose un solo d’une exquise sérénité sur “Abyss”, en contrepoint aux vocaux d’Elisabeth Kontomanou, autre invitée prestigieuse de cette session.

Stephanie McKay, qui faisait aussi partie de RH Factor assure les superbes vocaux de “Big Blue” et, last but not least, c’est le légendaire héros du g’wo ka, Guy Conquet, qui promène son chant hanté, ponctué par les répons de Troupé et Juste, et par le ténor incantatoire du saxophoniste qui boucle la boucle de ses racines, avec le dernier morceau de l’album, “ An Ba Mango La”, dédié à André Schwarz-Bart, et entièrement base sur une mélodie traditionnelle Gnawa d’invitation aux esprits.

Dans la lignée de “Soné Ka La”, “Abyss” est l’album d’un soliste, d’un compositeur, d’un défricheur.

Après avoir posé les règles du jeu dans “Soné Ka La”,  Jacques Schwarz-Bart est maintenant entré dans une recherche profonde ou l’importance de la musique Gnawa apparaît grande (les types de gammes, le jeu constant des questions/réponses).

Les compositions y sont encore plus inspirées  et permettent au groupe entier de se fondre dans cette nouvelle interactivité, s’affranchissant de ses contraintes  pour n’en plus développer comme improvisateurs que l’espace de liberté.

Avec hier “Soné Ka La”, et aujourd’hui “Abyss”, la musique de Jacques Schwarz-Bart ouvre au monde une voie nouvelle, une voie presque miraculeusement trouvée entre deux mondes,  entre deux univers.

“Abyss” laisse ainsi entrevoir les multiples possibles d’une esthétique en devenir, riche de sa vitalité, de ses différences et de son tronc commun,  dont les origines remontent à des siècles de là, le long du fleuve Niger, avant l’esclavage.

 

Patrice Blanc-Francard

Links :

http://www.brotherjacques.com
http://www.myspace.com/gwoka
http://www.reverbnation.com/gwoka

ABYSS

Revue de presse

Sortie septembre 2008 ( much more to come soon , European and International press… )

Le volcanique et déconcertant saxophoniste ténor va au bout de ses idées et nous offre un disque monumental de compositeur. Nos émotions empruntent les itinéraires de ses profondeurs. L'on s'y engage enthousiaste. L'on en ressort stupéfait et heureux. Comme d'une aventure inédite. - Bruno PFEIFFER, Open Mag

Il y a deux ans, en septembre 2006, il avait marqué la rentrée par son album "Soné Ka La". Un disque salué par la critique qui avait valu à Jacques Schwarz Bart une soudaine reconnaissance.
Le saxophoniste avait réussi le mariage entre la musique gwoka de sa terre natale la Guadeloupe et un jazz aux accents soul.
Abyss , son nouvel album est dans la lignée de Soné Ka La.
Mais, Jacques Schwarz Bart va plus loin, comme s’il se sentait libre désormais d’élargir le cadre de cette alliance entre rythmes gwoka et jazz.
- Anne CHEPEAU, France Info

L’originalité du phrasé et la créativité terrifiante du placement rythmique, la fermeté du timbre, la maîtrise de la tessiture, le lyrisme…tout place Jacques Schwarz-Bart parmi les saxophonistes contemporains les plus passionnants (…) Quant à sa dimension de compositeur, que ceux qui ont des oreilles s’en servent et un monde d’harmonies subtiles s’ouvrira à eux (…) invitation à une ouverture qu’on n’entend pas si souvent dans la musique de jazz d’aujourd’hui, et qui dépasse les clivages des genres en osant l’humanité contre la technique pure. - Thierry QUENUM, Jazz Magazine

Abyss est un immense témoignage d’amour de JSB à son père, l’auteur du Dernier des Justes. -  Yann PLOUGASTEL, Le Monde2

Abyss est un excellent album, emprunt de douceur, de mélancolie et de  sérénité, même dans les morceaux (tous originaux, dans les deux sens du terme )... Le leader a une sonorité remarquable d’équilibre et sa mise en place est impeccable! -  François René SIMON, Jazz Magazine

Après avoir marqué les esprits en 2006 avec Soné Ka la, JSB éclaire d’un nouveau jour cette réunion entre la musique-racine de ses origines et la bande-son de la ville où il vibre, New York. Divinement jazz, terriblement blues, mélange abouti de toutes les esthétiques qui font onduler la pensée du leader, Abyss est un recueil entre ombres irradiantes et lumières noires. - Jacques DENIS, Jazzman

Avec un pied dans le jazz, l’autre dans la tradition des tambours de Guadeloupe, Jacques Schwarz-Bart lance avec son nouvel album Abyss une réflexion sur le cosmos. - Elodie MAILLET, Vibrations magazine

Passé les premières pierres de Soné Ka La en 2006  qui le propulse aux crêtes dans le milieu avec une nomination victoires du jazz à la clef, le saxophoniste approfondit sa quête synthétique entre le jazz d’outre-Atlantique et la musique emblématique de son île natale, le gwo ka, dans une nouvelle production encore plus aboutie que la précédente et dédiée à la mémoire de son père : Abyss. - Dominique QUEILLE,  Libération

 Abyss est le deuxième volet de “Soné Ka la”, grand’oeuvre du saxophoniste Jacques Schwarz-Bart, qui fut porté aux nues par la critique lors de sa sortie en 2006.
“Abyss” est un album qui nous emmène plus loin et plus profondément encore au coeur des noces étincelantes et mystérieuses du jazz et du g’wo ka, la musique traditionnelle de Guadeloupe. - Patrice BLANC-FRANCARD

Schwarz-Bart channels the asymmetrical sonorities of John Coltrane and Wayne Shorter into the myth-spirit space of Caribbean folk legend. A remarkable contribution to the Caribbean jazz aesthetic. - John STEVENSON, Ejazznews

All the aficionados will remember his collaboration with ROY HARGROVE'S RH FACTOR. But thesaxophonist has since developed his own aesthetic. Abyss is an audacious and visionary album. JSB embodies the renewal and vitality of jazz music. - HR-KULTUR

Abyss is the highest point of a dream, remembering that jazz is ethnic music. - EL PAÌS

JSB  achieves a rare and skillful feat by treating melody and rhythms with the same degree of finesse, while avoiding that they compete for space or energy. This album is on very high level. -  JAZZZEIT 

With "Abyss", JSB opens a new chapter to his excellent first album "Sone Ka La". The later was welcomed with international acclaim.
With "Abyss" the saxophonist takes us further and deeper in the heart of his fascinating and mysterious world. - JAZZ ECHO

"Brother Jacques" est devenu en quelques années la coqueluche des clubs de Manhattan. Le saxophone ténor crache la lave dans le second CD "ABYSS", une immersion bienfaisante dans son bouillonnement intime. Coltrane apparaît dans chaque jaillissement, Dexter Gordon dans le phrasé, et dans les charges émotionnelles répétées, fait irruption (volcanique) le GWO-KA antillais…Schwarz-Bart entre en osmose avec ses parents au point que son style au ténor rejoigne le leur dans l'écriture : posé et flamboyant comme celui de sa mère. Spatial et rigoureux comme celui de son père. John Scofield apparaît sur le morceau "Abyss". Sa guitare éparpille les cendres dans l'espace devenu sacré. - Les Dernières Nouvelles du Jazz

Abyss is an explosive mixture of gwoka music and jazz. A must have ! - Cuadernos de Jazz

 The saxophonist delivers a top notch album. - DIE PRESS

Apres un premier album débroussailleur des sept rythmes fondamentaux de la musique antillaise, Abyss creuse une esthétique à l'usage des enfants de la planète. JSB est le Petit fils naturel de Coltrane, Pharoah Sanders et Archie Shepp dans sa passion pour l’Afrique. Son chant lyrique, passionné et élégant évoque la possibilité d'une mosaïque, la dynamique du kaléidoscope, et la multiplication des identités." - Christian LARREDE, Les Inrockuptibles

Ce saxophoniste au long cours continue de s’inventer un autre jazz, au cœur des mystères des caraïbes, tout de métissages subtils.- N.A., Muziq Magazine

L’accueil plus que chaleureux fait à Soné Ka La, à la puissance de cette fusion panafricaniste, conforte JSB dans sa démarche. Abyss enfonce le clou avec des invités de marque et une poésie bouleversante. - B.L., Nouvel Observateur

  The saxophonist Jacques Schwarz-Bart whips with "Abyss" after his great debut album "Soné Ka La" a new chapter. When "Soné     Ka La" came out in November, 2006, the album was promised by critics all over the world effusively. Now with "Abyss" the   saxophonist continues one still and deeper in the heart of his amusing mysterious sound world in. It is a sound world in which black beard marries the jazz of his adoptive country New York to the traditional Gwoka music of his birthplace Guadeloupe. Both musics connects that they have her cultural roots in Africa. And Jacques Schwarz-Bart ties together and devours these roots in his powerful musicto one single rope.

Jacques Schwarz-Bart is an unusual artist in mehrererlei regard.
- Schrubbel’s journal

Le charme opère dès les premières notes: le souffle magique d’un saxophone et la frappe rebelle du gwoka. Comme une mélodie lancinante qui se joint au battement d’un cœur généreux et insoumis. Après Soné Ka La, Abyss célèbre le retour du jazz à la source ancestrale avec des compositions miraculeusement intègres et une authenticité vibrante. Un voyage dans les mémoires enfouies, avec des allers-retours incessants entre la transe gnawa, le chant du fond de bois, les harmonies classiques et la syncope sahélienne. - L.M., Amina

Le prodige saxophoniste réinvente une esthétique jazz. Virtuose, souffle clair, attaque nette et tranchante, JSB dépoussière les deux genres gwoka et jazz dans une fusion très moderne, à la fois pleine de rythmes endiablés et de mélodies ciselées avec soin. Abyss, nouveau coup de maître de JSB, nous plonge dans une rêverie sonore d’une grande harmonie. - J.D., L’indépendant

Les compositions d’Abyss s’affranchissent de toutes les contraintes et n’en développent que l’espace de liberté. Elles ouvrent une voie nouvelle entre deux mondes, deux univers. JSB va très loin dans les origines traditionnelles de la musique traditionnelle guadeloupéenne, il remonte des siècles le long du fleuve Niger, avant l’esclavage. Résultat : une musique à l’élégance ciselée union réussie entre le jazz contemporain et la musique vraie d’un pays. - TV Magazine

Intense, furieux, Abyss met en lumière une fusion de styles, une force musicale, mais surtout un son original, sensible et chaleureux. L’un des grands moments musicaux de la rentrée. - La Vie

Un univers inclassable qui pourrait rassembler celui de John Coltrane et les rythmes traditionnels des Antilles. Mais ce raccourci est bien trop court et ces abysses là nous emmènent dans des profondeurs impalpables, tellement riches que les mots sont vains. - L. Bataille, Batteur Magazine

Après avoir étonné et surpris le monde du jazz hexagonal avec Soné Ka La en 2006, JSB récidive avec Abyss, un album d’un profond lyrisme, à la fois très personnel et très ouvert, inspiré par de grands noms du jazz ( John Coltrane, Keith Jarrett, Joe Henderson ) qui fait la synthèse entre plusieurs mondes musicaux. - D.P., le Quotidien du M.

Abyss est un album d’une très grande qualité car il est le fruit d’un long travail de composition. C’est aussi un voyage au cœur du jazz et du gwo ka dans lesquels le musicien se plonge littéralement afin de faire émerger une esthétique unique, fusion magique de deux univers. On l’aura tous compris, Abyss est un très grand album, à l’image de son illustre prédecesseur, Soné Ka La. - Fabien MAURIN, France-Antilles

Vives, légères et profondes à la fois, ces figures roulent sous ses pas tout au long de cette session.Jouées par des maîtres tambours, les percussions tournoient, ricochent sans cesse. Le saxophoniste ondoie au dessus des vagues et plonge au plus profond de ce voyage mémoriel. Sa façon d’accomplir ce retour aux sons de son enfance, en harmonie avec ce que le musicien a pu glaner comme expériences, s’avère intense et passionnante. - Romain GROSMAN, Volume

Un album fluide, limpide, achevé. JSB nous fait côtoyer les anges. Etrange et délicieuse sensation. Servie par une brigade de fines lames, cette douzaine de titres est dense, presque grave, mais toujours réellement libre puisque spirituelle. Un must ! - SQ, Mondomix

Abyss est un album lumineux à la couleur et la sonorité singulières. JSB est assurément l’un des musiciens les plus créatifs de sa génération. - Frédéric LEJEAL, Jeune Afrique

SONE KA LA

Sorti en Août 2006.

"Ce qui frappe d’emblée, c’est la puissance du souffle… De ce torrent tumultueux de notes, où sont convoqués aussi bien le funk de James Brown que le lyrisme de John Coltrane, et surtout la pulsation sourde du gwoka, s’échappe une indéniable originalité.» - Yann PLOUGASTEL - Le Monde2

"Tel un volcan en activité, le saxophone de Jacques Schwarz-Bart remplit le ciel de feu et de lave chaude. Après son concert plein d'émotion et de swing à La Villette, l'artiste est maintenant un nom très couru à Paris". - BP/ VIRGIN Megastore

"Le saxophone de Jacques Schwarz-Bart est magique. Rarement on a vu un talent si énorme dans l'art de fusion musicale. Avec Sone ka la, Jacques Schwarz-Bart nous montre ce que la fusion peut être et devrait être» - Frederic BRIARD / Marianne

"Le gwo ka est essentiellement rythme et voix. Le mariage avec le jazz l’ouvre sur l’harmonie, l’orchestration, un type d’improvisation mélodique. Et cela permet d’explorer des couleurs qu’on ne trouve pas d’habitude dans le jazz. Un mariage heureux.". - Bertrand DICALE / Le Figaro

"Jacques Schwarz-Bart «invente» un nouveau genre musical: Le Gwoka Jazz" - Bernard LOUPIAS / Le Nouvel Obs

"A l’écoute de la musique de Jacques Schwarz-Bart, le mot «funk» vient à l’esprit. Funk considéré comme un élan qui s’empare du bassin pour le faire chavirer, de la nuque pour la faire dodeliner». - Loïse CUENDET / Vibrations

"Une vision spirituelle. Un chemin unique!" - Vincent BESSIERES / Jazzman

"Avec Sone Ka la,  la world music atteint des  sommets inédits, tout comme le jazz." - Thierry QUENUM/ Jazz Magazine

"Ce saxman suprêmement doué utilise son style très unique pour mélanger la musique afro américaine et les sons créoles traditionnels." - Michel CONTAT / Télérama

"The balance Schwarz-Bart finds feels satisfyingly and organically exact, the strands woven tightly together to create what sounds almost like its own sub-genre. Schwarz-Bart’s resonant sax (he also takes turns on flute, acoustic guitar, triangle, and mouthdrums) is supported by a beautifully spare piano accompaniment, unadorned drum rhythms and percussion, wah-wah effects, hand claps, and the like — plus some fabulous vocals (in kwéyol, of course)." - Georgia POPPLEWELL / Caribbean Beat 

"Une vision unique qui porte la marque de la grandeur.» - IJAZZ

"C'est son projet le plus vieux, et pourtant celui qui a pris le plus de temps pour être réalisé. Cet album sorti chez Universal Jazz a été unanimement acclamé dans la Presse et récompensé." - Wikipedia 

"La première sensation est celle d’un plaisir absolu à goûter le jeu nerveux, vif, habile et musculeux du saxophone ténor de Jacques Schwarz-Bart. Ensuite s’imposent un lyrisme et un sens du liturgique, parfois une âpreté, héritée de John Coltrane. Après s’édifie une petite famille d’alter ego, dans laquelle croisent David Liebman ou Charles Lloyd. Puis des noms de compagnons de route défilent : Erykah Badu, David Gilmore, Roy Hargrove…" - Christian LARREDE / Les Inrocks

"Si Miles était vivant il l’aurait enrôlé ! Courtisé par Me’Shell et Roy Hargrove, son sax sculpte un groove teinté de funk et des rythmes de sa Guadeloupe natale." -  Citizen Jazz

«La scène musicale mondiale accueille, depuis cette semaine, une vraie nouveauté. Jacques Schwarz-Bart, musicien saxophoniste guadeloupéen, vient de sortir un opus qui marquera à coups sûrs la « world » musique : « Soné ka la ». Cette savante alchimie entre ses influences jazzistiques et la musique traditionnelle de Guadeloupe, le Gwoka, est sans nul doute, le sommet d’une véritable révolution musicale en marche depuis trois décennies.» - DJ Zandronis / Wikio

"Depuis New York, ville plurielle, Schwarz-Bart raconte son histoire dans une synthèse au présent où racines et lianes entrelacées jettent une passerelle entre l’Afrique et ses diasporas.» - Dominique QUEILLE/ Libération

«Le saxophoniste stellaire, JSB revisite les 7 rythmes de la musique gwoka, expertement mélangée avec l'harmonie  jazz et la soul. Le résultat est plein de musicalité et de spiritualité." -  Jimmy BRAUN / Percussions

"Ce saxophoniste surdoué avec un chemin stupéfiant vient juste de sortir son premier CD chez Universal: un chef-d'œuvre." -  Jean-Marc GELIN / Les Dernières Nouvelles du Jazz

"C’est du grand art!» - Fara C/ l’Humanité 

"Ce disque est un événement d’importance!» -   Thierry FLAMMANT / Jazz Shop

"His tenor playing is inventive and colorful, his improvisations stellar throughout, and he blends beautifully with the dense African percussion, rolling rhythms and light female and huskier male native choirs. The musician's intention, however, is to tell a rhythmic and melodic story of the history of many styles, fusing into a contemporary narrative in a wide array of moods and modes. The result is an exhilarating, hard to classify Afrojazz delight that defies all genre specifics but fits cozily into both jazz and world music bins." Jonathan WIDRAN, All Music Guide

"Schwarz-Bart soars high enough to suggest stardom is imminent." - George VARGA The San Diego Union Tribune

"Mr. Schwarz-Bart,fuses the hard tone of John Coltrane and the young Wayne Shorter in the angular lines and asymmetrical structures atop rhythms from Guadeloupe.
There is serious thought in Mr. Schwarz-Bart’s fusion." - Jon PARELES The New York Times

"One of the biggest pluses involving jazz is its capacity for a musician to instill his/her cultural imprint without sacrificing the music s fundamental roots. That is exactly what saxophonist Jacques-Schwartz-Bart did with his entrancing new disc, Soné Ka-La, JSB is running the Voodoo down!" - BET J

"Soné Ka-La » the title means « let the drums resound » is full of  surprises; an exhilarating melange". - Jeff TAMARKIN GLOBAL RHYTHM

"This blend of modal jazz and Caribbean rhythms challenges the listener to accept that musical categories fail to explain that a music can stylistically be either and both seamless and original." -Brian DRING, The Beat

"Debut of huge consequence. One of the top five world jazz discs  ever recorded." - J. DENNIS "Longboard jazzer" (Monument, CO USA)

"All-round reedsman-composer-arranger Schwarz-Bart injects the island’s native Go-Kwa drum patterns into his already novel callalou of post-bop and Nu Hip-hop influences. The results are simply hypnotic." - John STEVENSON, Ejazz News

"Simply infectious" - Brian SOERGEL, Jazz Times

"Avant-jazz saxophonist Jacques Schwarz-Bart has created one of a kind album. It is the Bible of world music’s ancient and modern rhythms." - Susan FRANCES / jazz review

"From straight up platinum plus jazz to jazz that shouts global awareness, Schwarz-Bart strikes every note beautifully in 'Sone Ka-La.' Jamming with top-notch musical artisans like Milan Milanovic, Mark Kelly and Stephanie McKay, he's got the backup to match the firepower of his blazing sax." - Mitchell Oldham, Rolling Out Magazine (Chicago, IL)

"Those infectious beats play a fundamental role in Soné Ka La. Sometimes Schwarz-Bart embellishes his tone with a wah wah pedal, crafting silvery textures and advanced harmonies that point towards electronica. Nervertheless, melodic cogency is always crucial to his serpentine lines" - DOWNBEAT of December 2007

"This is among the most successful and unforced mergings of jazz, pop and African diaspora music in the New World since Wayne Shorter's "Native Dancer" more than 30 years ago. And Schwarz-Bart is a helluva saxophone player." - Richard Scheinin, Mercury News

 Viré monté