Introduction

Le grand sujet qui préoccupe le monde d’aujourd’hui a rapport avec la vie. Doit-on la prolonger ou l’écourter, selon les circonstances dans lesquelles on se trouve? Avec les théories de toutes sortes issues du modernisme et du post-modernisme, l’homme se sent maître de lui-même et veut prendre toutes les initiatives concernant sa vie. Cela n’est pas étonnant car en rejetant Dieu, il rejette aussi sa Parole et son point de départ devient automatiquement lui-même. Comme disent les Écritures, l’insensé dit en son cœur: Il n’y a point de Dieu. L’absence de Dieu entraîne inévitablement l’absence de connaissance et l’égarement.

Nous vivons actuellement une époque où cette parole prononcée par Dieu s’est renouvelée dans le monde actuel: Tous sont égarés, tous sont pervertis. Il n’y en a aucun qui fasse le bien ; pas même un seul! Le monde d’aujourd’hui veut avoir le droit d’exercer son choix dans tous les domaines. Dieu devient un principe, un concept. Il n’est plus le Créateur, le Gouverneur et le Législateur de sa création. Il est mis de côté. L’homme s’efforce de prendre le contrôle de sa vie et veut à tout prix fermer la porte au nez de Dieu.

Pourtant, Dieu continue à gérer sa créature. Dans Romains 2.15, nous lisons que Dieu a inscrit sa loi dans le cœur de l’homme. Même lorsqu’il serait ignorant de la Parole de Dieu, il est considéré être sans excuse. La loi le condamnera. Par conséquent, l’homme devra répondre tôt au tard des inconséquences de ses choix, car tous sont responsable; tous sont visés par l’éthique théologique et leur conscience le leur rappelle incessamment.

Le sujet qui nous préoccupe, entre autres, et dont nous allons parler dans les lignes qui suivent  est l’Euthanasie, un domaine qui relève plus de la bioéthique. La question que nous tenterons d’élucider est de savoir ce que dit l’éthique à propos de cette pratique.

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Viré monté