Dès sa naissance en 1947 en Guadeloupe à Pointe-à-Pitre, Max EDINVAL fut bercé par une mère très attentionnée lui transmettant l’amour des lettres, des mots, du verbe.

Il héritera ainsi d’une véritable passion des livres le guidant vers l’univers de ses poèmes et de ses premiers écrits jalousement gardés.

Au gré des Alizés, sa vie sera rythmée entre ses activités professionnelles, associatives, de militant politique et familiales où il fait office de père, soucieux de l’éducation de ses enfants, tout comme celle que lui a transmise sa mère bien aimée, aromatisée de cette pointe d’exotisme traditionnel, du monde d’où il vient.

L’envie d’écrire toujours présente à son esprit, il décide en 2003 de se plonger dans la réalisation de son rêve qui devient roman.
 

Né en 47 à Pointe-à-Pitre Guadeloupe, Max EDINVAL, amoureux des mots et des belles lettres, tente de nous conter la vie d’une famille métissée.

La quête d’un homme n’est jamais facile, Charles, au service de son idéal, veut réussir. Son amour insondable pour Loren, la ravisseuse de son cœur, l’illumine.

Vit-il seul cet amour? La position difficile de Charles face à la fille de Loren l’enfonce dans des imbroglios familiaux au quotidien. Loren et Charles auront deux enfants. La rencontre des deux mondes, dont Charles et Loren sont issus, le cheminement devient problématique pour Charles. Il est plongé dans la complexité du métissage, des origines, des éducations, le «métissage» au sens universel quand un couple veut fonder une famille. Le métissage des races est d’une beauté d’arc-en-ciel, mais ne demeure pas facile à vivre dans sa réalisation universelle. L’auteur immerge le lecteur dans les flexuosités naturelles, complaisantes et acides, des sentiments humains d’une communauté divisée, sur la scène de la vie. Amour, sexe, humour, sagesse, tristesse, cynisme, rage, révoltes, telles des ombres agitées se font une bataille rangée.

L’auteur nous invite dans ce monde au présent que nous refusons de voir, et, là, les traditions, le savoir-vivre, le respect, la déférence sont mis en déroute.

La société tombe en déliquescence. Incompréhension, mauvaise foi, détermination matriarcale, subtile machination sur un très mince fond d’amour.

Que trouve-t-il face à ses efforts, et son oubli de lui-même?

Vous le saurez! L’auteur nous parle avec intimité des sentiments fondateurs de l’Homme.

Un récit, haut en couleur, riche en narration, foisonnant d’antagonismes révélateurs de la nature humaine, surprend.

Charles va-t-il gagner ce challenge dans tout ce tumulte?