Français : travail d’écriture en classe de français
(5ème et 4ème de collège)

 

Extraits de disquettes ou de cédéroms
 

tartana

Ces passages sont livrés sans aucune correction… Les remarques en rouge sont des exemples de demandes de correction (généralement orthographiques)… 

«Notes pour Mme Lefèvre (de la part de Laurie) :

  • Il y a des passages de mon histoire avec Zork, qu'il faut éliminer car on ne fait plus cette histoire, je les ai donc mis en couleur (verte), et je ne les élimine pas pour ne pas faire de bêtise ; je vous laisserai donc les enlever.
  • J'ai fais quelques corrections (non voyantes, car je ne les ai pas mises en couleur), telles que rajouter des virgules, enlever des mots lorsqu'ils gênaient la phrase,…
  • Et il y a d'autres corrections un peu plus grandes, que j'ai donc mis en orange pour que vous voyiez la différence (comme formuler autrement une phrase, rajout de petites phrases,…)
  • Lorsque je relisais l'histoire, et que je voyais des fautes d'orthographes, parfois j'ai pensé à vous les mettre en couleur, mais d'autres fois j'ai oublié. Elles seront donc de couleur orange aussi (pour ne pas trop vous emmêler).
  • Et aussi, au fur et à mesure de l'histoire, lorsque je rencontrais des incohérences, je les ai changées (pour qu'il n'y ait plus ces incohérences) et je les ais mises de couleur rose , pour que vous les remarquiez.
  • Pour les paragraphes en rouge des pages 34, 35, 38, 45, 72, je n'ai pas compris ce qu'il fallait en faire, je les ai donc laissé comme ils étaient.
  • Ensuite, un peu partout dans l'histoire, j'ai mis des commentaires en bleu , pour vous prévenir ou vous dire ce que je pensais. »

Ou :

«Vladimir s'arrêta car il venait d'apercevoir plusieurs policiers venant vers leur table. (Revoir, un peu plus haut, cette histoire de portefeuille… Attention à la cohérence…J'ai essayé, mais ce n'est pas forcément très heureux… A revoir : page 72 …)

- Excusez-nous de vous déranger en plein milieu de votre repas, est-ce bien vous la famille Paterson?

- Oui, c'est bien nous, il y a un problème?

- C'est à propos de votre portefeuille Monsieur : nous l'avons retrouvé. Il était dans la boîte aux lettres de la police. Nous avons été fort surpris car cela n'était encore jamais arrivé auparavant. Tenez, vérifiez mais je crois qu'il y a tout… Tenez aussi, dans cette enveloppe, la clé dont vous nous aviez signalé la disparition… Bien sûr cela ne veut rien dire, on a pu en faire un double…

- Merci beaucoup ! dit Vladimir en vérifiant le contenu de son portefeuille et il prit la clé en soulignant que cela n'avait pas d'importance car il avait bien sûr fait changer la serrure de son coffre. Ils lui firent signer une décharge.

Sur ce les policiers quittèrent la salle sous les regards curieux et interrogatifs des clients.

- Mais pourquoi sont-ils venus si nombreux pour nous rapporter un simple portefeuille! Et au fait, comment nous ont-ils retrouvés ?

- J'ai téléphoné à l'inspecteur Carol en partant de la maison pour lui dire dans quel hôtel nous descendions mais tu as raison, c'est tout de même curieux qu'ils soient venus me le rendre ici, normalement c'est au commissariat que cela aurait dû se… Vladimir n'eut pas le temps de poursuivre:

- Non, mais, regardez! Il y en a deux qui restent ! Ils sont sûrement là pour notre surveillance, répondit Sharon.

Zack, lui, resta muet. Il l'était depuis qu'il avait vu le policier tendre à son père son portefeuille. Et personne ne savait pourquoi…

Il faudrait remplacer tout ce passage en violet par un dialogue entre la famille, et il faut trouver un autre alibi pour que Zack soit songeur comme ça.

Le reste du dîner se passa sans incident et la famille Paterson se détendit. On ne reparla plus des mystérieux messages. Il semblait entendu qu'on attendrait … Seul Zack restait songeur et il passa une nuit assez agitée… »

Et ces exemples pris sur une disquette d'Ingrid :

«J'ai noté mes observations en vert d'eau (celui-ci même). Aussi, je voulais vous signaler que Vincent à déjà dix-sept ce qui fait qu'il ne peut pas fêter ses seize ans comme vous l'avez proposé dans le chapitre 22 « Le retour » (? plan de fin). Il faudrait alors soit changé son âge au début de l'histoire (donc celui des filles aussi) soit le rectifier qu'il fête ses dix-huit ans.

Je voudrais aussi faire remarquer que l'on doit parler des vacances de Noël et de carnaval mais on devrait commencer par celles de Toussaint car si j'ai bien compris le début de l'histoire correspond au début de l'année scolaire puisque environ deux mois de classe s'écoulent et un mois de redressement pour Vincent, ça fait donc trois en tout ce qui veut dire qu'il sort de l'« enfer » en fin novembre. Je pense donc qu'il faudrait porter quelques modifications dans un des chapitres et insérer ses fameuses vacances oubliées.

Aussi, vous remarquerez que j'ai fait basculer dans le chapitre « Le tribunal » la dernière page du chapitre « L'arrestation » étant donné que ce dernier était trop long (il faisait près de dix pages !). (Ingrid)»

Et plus loin…

«Ce chapitre est presque entièrement à modifier ! Non seulement il y tout ce que Madame Lefèvre a écrit en rouge, mais il y a aussi des incohérences au niveau du jour de la fugue : il sort de la maison de redressement à dix-sept heures ! Ca change tout, vous vous rendez compte ? Il faut faire en sorte qu'il fugue le samedi matin (sous prétexte qu'il va passer la journée chez un ami), ce qui fait que le soir la mère attend impatiemment son retour et finit par appeler chez le fameux copain ne le voyant pas arriver. Pendant ce temps Vincent est déjà loin… et vous racontez. Aussi, il faut qu'il rencontre Rodolphe soit le samedi après-midi (il est déjà à St Pierre car il a pris le bus ou fait du stop… Raconter ses états d'âmes durant le trajet comme vous l'a demandé Madame Lefèvre… Il dort chez Rodolphe le samedi et le dimanche soir), soit le dimanche matin (il ne dort chez lui que la nuit du dimanche). Enfin, quelque soit le cas, il doit absolument retourner à la maison de redressement le lundi à sept heures. N'oubliez pas qu'il passe à la télé (ou/et peut-être à la radio)… En tout cas, je vous souhaite bonne chance, les filles ! » (Ingrid qui s'adresse aux autres membres de son groupe…) 

« Au retour, ils firent le même chemin qu'ils avaient fait à l'allée mais cette fois dans le sens inverse et sans qu'on ne les appelle une seule fois. Quand ils arrivèrent à la salle de réception, on leur remit aux visiteurs leur pièce d'identité, ils récupérèrent leurs effets personnels et les vigils leur ouvrirent enfin la porte de sortie…

Ce soir-là, lorsque Julien …… ( ?) l'habituelle visite d'un des gardes de la prison, il lui annonça qu'il désirait voir son avocat le plus vite que possible…

Cette dernière phrase reste à revoir. Aussi, il me manque quelques informations sur les visite en quelque sorte (Un prisonnier peut-il avoir la visite de plus d'une personne sur un même temps ? Comment le prisonnier peut-il voir son avocat ?) et surtout quelques informations concernant la « vie » des prisonniers (Que et quand mangent-ils ? Comment sont-ils traités ? Il sont maltraités, bien sûr, mais que leur fait-on alors ? Comment ça se passe pour eux, quoi ? Est-ce que les gardiens sont en permanence en train de les surveiller ? Quand viennent-ils les voir, si ce n'est pas le cas ?)

21. Les aveux

Comme vous pouvez le constaterez, ce chapitre n'est pas complet car il a fallu que je fasse un certain nombre de recherches pour le précédent ce qui ne m'a pas véritablement laissé le temps d'en faire pour celui-ci. Il est en effet beaucoup plus compliqué que je ne le pensais car les révélations de Julien à la police ne se font pas comme ça, du jour au lendemain : il faut qu'il passe par son avocat. Quant à la mise en place de la souricière, c'est un sujet qui m'est totalement inconnu. J'essaierai de faire le plus vite possible pour le terminer. Merci d'avance de votre compréhension.

Fin du chapitre :

Le lendemain de sa visite, Vincent repensa à toute leur conversation. Il se dit qu'il fallait absolument que Julien reçoive des visites assez régulièrement pour se changer un peu les idées, se confier de temps en temps. Tout en réfléchissant, Vincent décida alors de faire de son mieux pour convaincre les parents de Julien à aller le voir.»

Et cette scène où l'introduction du créole s'impose peu à peu, se travaille, se remanie… Nous avons d'ailleurs toujours des doutes sur la correction des expressions… :

Première version:

«Après avoir bien mémorisé son emploi du temps de la journée, Vincent sorti de sa chambre, prêt à affronter souffrances et brimades… (Aymeline se charge de raconter la matinée du lundi dans le chapitre précédent.)

Comme d'habitude, après avoir passer un début de journée ennuyeux comme tout, Vincent était plutôt de mauvaise humeur lorsqu'il entra dans la cantine. Néanmoins, il avait une faim de loup. Il mangea donc avec appétit d'autant plus que le déjeuner était excellent. Mais alors qu'il terminait d'avaler son le plat de résistance, Jeremy qui était juste en face de lui essaya de lui voler son dessert. Heureusement, Vincent leva les yeux juste à temps pour le surprendre en pleine action. Jeremy fit comme si de rien était et continua de manger.

- Eh non, frère ! Donne-moi mes affaires !

- Quelles affaires ?

- Mon dessert, dépêche-toi !

- N'importe quoi, mais qu'est-ce qui te prends de m'agresser comme ça ? s'indigna Jeremy.

- Tu as cinq secondes pour me donner ça ! rugit Vincent.

- Oh ! Calme-toi sur moi, là ! Déjà j'ai pas ton dessert alors arrêtes de m'emmerder !

- Tu me prends pour un imbécile, ou quoi ? Je t'ai vu le prendre alors arrêtes de me raconter des bêtises !

Vincent sentait ses joues lui brûler. Non seulement Jeremy lui volait son dessert, mais en plus il osait lui mentir. Déjà, les regards commençaient à se tourner vers eux tandis que la colère s'emparait d'eux…

Voyant que Jeremy ne cédait pas, Vincent décida de passer à l'action. Il se leva, passa de l'autre côté de la table, attrapa son dessert… D'un geste rapide, Jeremy reprit le… (Trouver une idée de dessert) et le repoussa brutalement. Vincent surpris manqua de tomber à la renverse. y , il fut pris d'une colère si violente qu'il assena à Jeremy un coup de poing en pleine figure. Ce dernier en poussa un cri rauque mais ne s'effondra pas. Vincent aurait pu en profiter pour récupérer son bien, mais il se rendit compte qu'il n'avait plus faim : Jeremy lui avait coupé carrément l'appétit !

Deuxième version:

«Comme d'habitude, il passa un début de journée ennuyeux comme tout. Vincent était plutôt de mauvaise humeur lorsqu'il entra dans la cantine. Néanmoins, il avait une faim de loup. Il mangea donc avec appétit d'autant plus que le déjeuner était excellent. Mais alors qu'il terminait d'avaler son le plat de résistance, Jeremy qui était juste en face de lui essaya de lui voler son dessert. Heureusement, Vincent leva les yeux juste à temps pour le surprendre en pleine action. Jeremy fit comme si de rien était et continua de manger.

- Eh non, frère ! Ba mwen bagaï mwen ! (Donne-moi mes affaires !)

- Ki sa en ? (Quelles affaires ?)

- Mon dessert, dépêche !

- N'importe quoi, mais qu'est-ce qui te prends de m'agresser comme ça ? s'indigna Jeremy.

- Tu as cinq secondes pour me donner ça ! rugit Vincent.

- Oh ! Kalmé ko-ou anlè mwen, la ! (Calme-toi sur moi, là !) Déja mwen pa ni bagaï ou a, alor assé fè mwen chié ! (Déjà je n'ai pas ton dessert, alors arrêtes de m'emmerder !)

- Ou ka pran mwen pou an imbécil, ou bien ki sa ? Mwen woué ou pran-i, alor assé di bétise ! (Tu me prends pour un imbécile, ou quoi ? Je t'ai vu le prendre, alors arrêtes de me raconter des bêtises !)

Vincent sentait ses joues lui brûler. Non seulement Jeremy lui volait son dessert, mais en plus il osait lui mentir. Déjà, les regards commençaient à se tourner vers eux tandis que leur colère montait…

Voyant que Jeremy ne cédait pas, Vincent décida de passer à l'action. Il se leva, passa de l'autre côté de la table, attrapa son dessert… D'un geste rapide, Jeremy reprit la coupelle de blanc-manger coco et le repoussa brutalement. Vincent, surpris, manqua de tomber à la renverse. A ce moment là, il fut pris d'une colère si violente qu'il assena à Jeremy un coup de poing en pleine figure. Ce dernier en poussa un cri rauque mais ne s'effondra pas. Vincent aurait pu en profiter pour récupérer son bien, mais il se rendit compte qu'il n'avait plus faim : Jeremy lui avait coupé carrément l'appétit !

Troisième version (retenue pour l'instant) :

Comme d'habitude, il passa un début de journée ennuyeux comme tout. Vincent était plutôt de mauvaise humeur lorsqu'il entra dans la cantine. Néanmoins, il avait une faim de loup. Il mangea donc avec appétit d'autant plus que le déjeuner était excellent. Mais, alors qu'il terminait d'avaler son plat de résistance, Jeremy qui était juste en face de lui essaya de lui voler son dessert. Heureusement, Vincent leva les yeux juste à temps pour le surprendre en pleine action. Jeremy fit comme si de rien était et continua de manger.

- Eh non, frère ! Ba mwen bagay mwen !*

- Ki sa en ? **

- Mon dessert, dépêche !

- N'importe quoi, mais qu'est-ce qu'il te prend de m'agresser comme ça ? s'indigna Jeremy.

- Tu as cinq secondes pour me donner ça ! rugit Vincent.

- O! kalmé ko'w anlè mwen, désè la ! Yonn mwen pa ni bagay'w a, alò asé fè mwen chyé ! * **

- Ou ka pa pran mwen pou an enbésil, ou byen ki sa ? Mwen wè'w pran-y alò asé di bétiz! ** **

Vincent sentait ses joues lui brûler. Non seulement Jeremy lui volait son dessert, mais en plus il osait lui mentir. Déjà, les regards commençaient à se tourner vers eux tandis que leur colère montait…

Voyant que Jeremy ne cédait pas, Vincent décida de passer à l'action. Il se leva, passa de l'autre côté de la table, attrapa son dessert… D'un geste rapide, Jeremy reprit la coupelle de blanc-manger coco et le repoussa brutalement. Vincent, surpris, manqua de tomber à la renverse. À cet instant, il fut pris d'une colère si violente qu'il assena à Jeremy un coup de poing en pleine figure. Ce dernier en poussa un cri rauque mais ne s'effondra pas. Vincent aurait pu en profiter pour récupérer son bien, mais il se rendit compte qu'il n'avait plus faim : Jeremy lui avait coupé carrément l'appétit !

* Donne-moi mes affaires !
** Quelles affaires ?
*** Calme-toi à mon sujet ! Ce n'est pas moi qui ai ton dessert, alors, arrêtes de me persécuter ! (de m'emmerder)
**** Ne me prends pas pur un imbécile ! Je t'ai vu le prendre, alors arrête de dire des bêtises !

tartana